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« La Belle et la Bête » à la Gare du Midi

Le Malandain Ballet Biarritz propose une représentation de cette création pour l’Opéra royal de Versailles, associant modernité et tradition du conte.
Rendez-vous donc dans le cadre des Estivales 2017, avec cette œuvre de Thierry Malandain, ce 11 août à 21h dans la salle biarrote.

C’est sur la valse d’Eugène Onéguine de Tchaïkovski et avec un bal que s’ouvre le ballet. Thierry Malandain entre dans la tradition des bals des grands ballets classiques, avec de la danse baroque et des costumes brodés d’or évoquant le Grand Siècle. Mais, le chorégraphe introduit rapidement de la modernité.

« Sans se pencher sur toutes les interprétations du conte, on peut y déceler un récit initiatique visant à résoudre la dualité de l’être : la Belle incarnant l’âme de l’être humain et la Bête sa force vitale et ses instincts. Avec Jean Cocteau, dont le film sortit sur les écrans en 1946, le regard se porte sur la représentation des démons intérieurs de l’artiste à travers la double nature de la Bête. Unité perdue ou nature humaine déchirée, quoiqu’il en soit, sur des pages symphoniques de Tchaïkovski, dans notre proposition la Bête, délivrée de ses démons intérieurs, épousera la Belle sous un soleil ardent ».

Sans se pencher sur toutes les interprétations du conte, on peut y déceler un récit initiatique visant à résoudre la dualité de l’être : la Belle incarnant l’âme de l’être humain et la Bête sa force vitale et ses instincts.

« Avec Jean Cocteau, dont le film sortit sur les écrans en 1946, le regard se porte sur la représentation des démons intérieurs de l’artiste à travers la double nature de la Bête. Unité perdue ou nature humaine déchirée, quoiqu’il en soit, sur des pages symphoniques de Tchaïkovski, dans notre proposition la Bête, délivrée de ses démons intérieurs, épousera la Belle sous un soleil ardent ».

Informations sur le site du Malandain Ballet Biarritz

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