Cette édition s’annonce particulièrement relevée, avec les meilleurs Français en lice, et de très belles vagues attendues, du moins sur les premiers jours.
Entre Biarritz et les championnats de France de surf, c’est une belle histoire d’amour et d’amitié, puisque la ville basque a déjà accueilli le « France » à huit reprises (1967, 1971, 1974, 1984, 2007, 2010, 2011 et 2015). La date retenue (cette année, du 22 au 30 octobre) étant idéale pour la qualité et la fréquence des vagues, grâce aux longues houles d’automne. Quant au climat, les précédents étés indiens laissent espérer de belles journées ensoleillées.
Certes, le néophyte peut se perdre entre toutes les catégories proposées : surf open, surf ondines open, bodyboard open, bodyboard ondines, dropknee, longboard open, stand up paddle open, longboard ondines, stand up paddle ondines, bodysurf, surf tandem, kneeboard, skimboard, sans compter les catégories espoirs avec surf minimes, cadets, juniors et leurs équivalents en féminines (ondines), ainsi qu’en bodyboard, en longboard et en bodysurf. Et si vous n’avez pas tout assimilé, vous êtes prié de vous remettre à l’anglais, fissa, ça vaut mieux dans l’univers du surf ! Soit 231 engagés chez les seniors et 184 dans la catégorie espoirs. Un sacré cru !
Le spot principal et le Village se situeront sur la Grande Plage, entre le Casino et le Palais de la Reine, mais d’autres spots alentours, comme la Côte des Basques, pourront être utilisés.
Côté prétendants à la victoire, citons Jon Duru, le n°2 français, l’Antillaise Maud Le Car, le revenant Maxime Huscenot, Amaury Lavernhe, le triple champion du monde et capitaine de l’équipe de France de bodyboard, et Antoine Delpero, double champion du monde de longboard, Biarrot d’adoption.
Une compétition façon répétition, car chacun sait que c’est à Biarritz qu’aura lieu en mai et juin prochains le World Surfing Games 2017, les championnats du monde de surf des nations. Et pour y participer, autant rafler ce week-end un joli titre de champion de France.
Alors, à vos planches, prêts, fartez !
Réagissez à cet article
Vous devez être connecté(e) pour poster un commentaire