Ca n'en finit pas de bouger du côté du Haras de Tarbes depuis que la municipalité s'en est portée acquéreur. Et alors que les premiers chevaux et hommes, militaires, selliers, maréchaux-ferrants arrivent sur le site, instructeurs également et hussards parachutistes chargés de s'occuper des animaux, les perspectives d'avenir apparaissent multiples et diverses.
Tiens, par exemple, le bruit court (au galop) que l'entrée côté rue du Régiment-de-Bigorre pourrait bien se transformer en Maison de l'Environnement, un mix entre déménagement des services de développement durable de la mairie et exposition permanente sur l'environnement. Une interrogation directement abordée par le maire, Gérard Trémège, lors du dernier Conseil municipal.
Une idée qui trotte (ah, ah, ah) dans la tête des services municipaux... Or la dernière fois qu'ils ont ruminé (ah, ah, ah) un truc pareil, c'était à propos du maréchal-ferrant qui est en train de prendre ses marques au Haras.
A Tarbes, il n'y a pas de fumée sans feu, expression cavalière on en conviendra, pour un sujet tournant autour d'une Maison de l'environnement.
Mais l'ébullition d'idées n'est pas sans rappeler celle qui avait précédé au renouveau du quartier de l'Arsenal. Cette fois, c'est le nouveau dada tarbais, le renouveau du Haras.
Cheval et environnement seraient-ils en train de révéler leur vraie nature au grand galop ? A ch'val ?
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