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Danse : le Tarbais Rémi Lartigues de retour

Avec sa troupe, il se produira à Oloron et à Tarbes sur « Le Sacre du printemps », un spectacle haut en couleurs, baigné par le talent
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Il n’a peur de rien, Rémi Lartigues ! Songez, à 23 ans, le Tarbais est déjà à la tête de sa propre compagnie de danse, les Ballets de France, ainsi que vous l’annonçait Presse Lib’ il y a pile poil deux ans, sous le titre « Un danseur précoce et talentueux ».

Il n’a peur de rien, Rémi Lartigues ! Songez, à 23 ans, le Tarbais est déjà à la tête de sa propre compagnie de danse, les Ballets de France, ainsi que vous l’annonçait Presse Lib’ il y a pile poil deux ans, sous le titre « Un danseur précoce et talentueux ».

DANSE5Un parcours des plus classiques que celui du Bigourdan : l’initiation à la danse classique à 14 ans, sous l’égide de Jean-Pierre Laporte, danseur étoile au Ballet de Wallonie, puis une formation au Conservatoire régional de La Réunion, au centre chorégraphique Chantal Brown et à l’Institut Stanlowa de Paris. Ainsi aguerri, il rejoint quatre ans plus tard le Milwaukee Ballet, puis le Ballet de Miami et les Arts Ballet Theater of Florida.

ballet2Un vrai phénomène, qui se produit sur les plus grands ballets du répertoire classique, comme « Casse-Noisette », « La Bayadère » ou des chorégraphies plus contemporaines, comme « Les quatre tempéraments » de Balanchine et « Something i had in Mind », de Mauro de Candia. Dorénavant à la tête de sa propre compagnie, il y fait venir des danseurs issus des plus grands ensembles, Ballet de l’Opéra de Paris, Ballet national de Cuba, de Floride ou de la compagnie Maurice Béjart.

ballet1Après une représentation du Sacre du printemps, début novembre à Saint-Laurent-de-Neste, il sera le 17 décembre à Oloron, puis le 27 février à Tarbes, avec sa troupe de huit danseurs, sur une chorégraphie de Mario Piazza et une musique envoûtante de Stravinsky, bien sûr.

Mais pas seulement lui, puisque deux pièces du répertoire et une création contemporaine seront jouées, avec les rythmes lyriques du Requiem de Mozart, succédant aux mélodies de Paganini, avant de laisser la place au Sacre, l’une des œuvres musicales et chorégraphiques majeures du XX siècle, une pièce révolutionnaire, dont la frénésie et le dynamisme ont marqué à tout jamais l’histoire de la musique et de la danse.

Rémi affirme que « danser, c’est comme parler en silence, c’est dire plein de choses sans dire un mot. »

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