Cela fait dix-huit mois que la compagnie Horizon Vertical prépare l’événement « Une saison, un auteur », qui lui a fait jouer trois pièces d’Éric-Emmanuel Schmitt sur la Côte basque, presque toutes à guichets fermés. Avec pour clôturer l’événement une représentation de « Petits crimes conjugaux » au Colisée de Biarritz ce jeudi 27 octobre. Et en présence de l’auteur siouplaît !
Dans les années 1980, Franck Godard a découvert le théâtre avec les cours Florent. Il a réalisé son rêve d'acteur en interprétant la pièce d'Eric-Emmanuel Schmitt, "La nuit de Valogne", en 2001 au Colisée de Biarritz. Emporté par le talent de cet auteur, il lui reste fidèle. Et il crée le concept "Une saison, un auteur".
La représentation de ce jeudi, "Petits crimes conjugaux" est réalisée par Franck Godard qui l'interprète avec Rozenn Castera.
Quelques mots de la pièce proposée avec son pitch, pour causer jeune : Gilles est victime d’un mystérieux accident. Amnésique, étranger à lui-même, il revient chez lui auprès de Lisa, sa femme depuis quinze ans. Qui est-il ? Qui est Lisa ? Comment vivait leur couple ? A partir de ce qu’elle lui raconte, il tente de recomposer son existence. Mais si Lisa mentait ?
Le programme, parlons-en : tout cela va donc se passer ce jeudi 27 octobre, au théâtre Colisée (avenue Sarasate), avec dès 18h30 une séance de dédicaces organisée par la Compagnie en la libraire Darrigade, avec EE Schmitt qui sera là en personne pour signer deux de ses livres, « La nuit de feu » et « L’homme qui voyait à travers les visages ».
A 20h, tout ce petit monde, et bien d’autres se retrouvera au Colisée, pour une rencontre avec le public et un quart d’heure plus tard, les spectateurs (du moins ceux munis de billets) seront invités à un cocktail, toujours en présence de l’auteur, tandis que deux musiciens feront l’ambiance, et que l’artiste-peintre Françoise Bolloré exposera une sélection de ses tableaux. Après quoi il sera temps de passer à la représentation des « Petits Crimes Conjugaux ».
Un mot encore pour présenter Françoise Bolloré, peintre délicate qui est en train de se faire un prénom et a exposé un peu partout sur la planète, au Japon, au Cambodge, en Belgique, en Allemagne, en Italie, et en France, bien sûr.
Se définissant comme autodidacte, de style « abstraction lyrique », elle déclare se sentir telle « un capteur d’image et d’énergie générant des émotions sincères. »
Une artiste entière et talentueuse qu’on découvrira avec bonheur au Colisée.
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