Il faut dire que la plupart du temps, décourageant les usagers, les retards de train sont une légende bien réelle. Ici, avec le projet Géofert (que la Région Occitanie finance à hauteur de 140.000 euros), on va juger en temps réel des bonheurs de la géolocalisation.
Et si l’expérience est concluante entre Toulouse et Rodez, les retards limités et les coûts de maintenance diminués, nul doute qu’elle fera des petits. Mais comment ça marche, demandez-vous à la façon Michel Chevalet ?
La géolocalisation donne des informations précises au conducteur du train, il peut ainsi décélérer à temps si un obstacle est repéré sur la voie, se mettre en vitesse de croisière quand tout est ok, bref mettre en place une conduite plus économique et aussi plus écologique.
La « mauvaise » nouvelle, il en faut toujours une, c’est que l’efficience du dispositif pourrait à terme réduire le personnel dédié à la maintenance, voire automatiser la conduite des trains qui n’auraient plus alors besoin de l’intervention du conducteur qu’aux entrées et sorties de gare.
Alors, une évolution ou pas ? Votre avis est le bienvenu…
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